It's inspired by the comic strip 'Your Working Day Emotion Check List' from Matt Groening.

I wanted to write something about all these 'dumb' jobs in cubicles where you spend all your time behind a computer doing silly tasks and at the end of the day, you just realize you've wasted your time (this refers to my internship experiences; I'm lucky I've had great jobs so far with great people, in human-friendly environments).

Same melody as 'Sitting On the Dock Of The Bay', by Otis Redding.

I'm sitting behind my desk
I'll be sitting 'till the evening comes
Surfing on the Internet
Waiting for 5pm to come

I'm sitting behind my desk
I want to get out, smoke a cigarette
I've already had ten coffee breaks
I'm wasting time

(Bridge) If only I was outside
Sitting on the beach, and looking at the sky
I don't even know what's the weather outside
I'm trapped in a box, and I feel I'm gonna cry

I'm sitting behind my desk
Try to stay cool, in this crazyness
I refuse to play the game
I'm alive

I'm running out reaching the door
You can't trap me inside, I need to fly
Don't wanna be a robot for the rest of my life
I'm alive

This is SO MUCH what I felt during some very bad internships...
Matt Groening, you rock.

                      J'ai parcouru le Mall en long, en large et en travers
                      Lu les paroles de Jefferson
                      Et observe la Maison Blanche depuis Lafayette Square

                      J'ai fait la tournee des bars a Adams Morgan
                      Je me suis saoulee au jazz chez Madam's Organ
                      Mes poches sont vides et j'en n'ai rien a faire

                      Les milliers de morts d'Arlington Cemetery
                      Me rappellent la vraie raison de ma venue ici
                      Apres tout, qu'importent nos douleurs?
                      Puisqu'un jour tout sera fini

                      Dans les rues desertes, je tue mes dernieres heures
                      Et l'air lourd d'un coup s'abat sur mon coeur
                      Je ne reverrai jamais ton visage,
                      Ni les cerisiers en fleur

'De tous les chemins qui s'offraient a moi,
J'ai choisi celui ou l'on allait pas'

La phrase originale est la suivante (from 'The Road Less Traveled' by Robert Frost):

“I shall be telling this with a sigh
Somewhere ages and ages hence:
Two roads diverged in a wood, and I —
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.”

L'HOMME...

http://www.youtube.com/watch?v=bMdXi6f5KRg

http://www.youtube.com/watch?v=DTjXQvwGh-0&feature=related

L'ARTISTE...

Je t'aime moi non plus

La Decadanse

Sea, Sex and Sun

No Comment

Elisa

Mon Legionnaire

Lemon Incest

Les sucettes

Mes chansons preferees (faites attention aux textes, pas aux clips ;-) ):

La Chanson de Prevert

(ainsi qu'une reprise interessante par Raphael et Bernard Lavilliers)

La Javanaise

Dieu est un fumeur de Havanes 

(de Gainsbourg ou Deneuve - qui est le pire au niveau doublage???)

Vieille canaille

Envole-moi
(la scene qui se souleve a la fin du clip est particulierement impressionnante)

'Envole-moi...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots'

On ira

'On partira de nuit, l'heure où l'on doute
Que demain revienne encore
Loin des villes soumises, on suivra l'autoroute
Ensuite on perdra tous les nords
 
On laissera nos clés, nos cartes et nos codes
Prisons pour nous retenir
Tous ces gens que l'on voit vivre comme s'ils ignoraient
Qu'un jour il faudra mourir'

La-bas

'Tout est neuf et tout est sauvage
Libre continent sans grillage
...
J'aurai ma chance, j'aurai mes droits
et la fierte qu'ici je n'ai pas
Tout ce que tu merites est a toi
Ici les autres imposent leur loi
Je te perdrai peut etre la bas
Je me perds si je reste la'


'

J'ai vu ce film pour la 1ere fois a 13ans et ca a change ma vie... J'adhere a 200% avec les valeurs defendues dans ce film. Seize the day, the big YAWN, etc.  Ce film est genial de bout en bout!
Et la scene finale me donne des frissons a chaque fois...

http://www.youtube.com/watch?v=s8UL_9R_W-Y

I'm usually not crazy about paintings, but God, in front of this one I was stuck.

For other sensual paintings, check out Fabian Perez' website.

"Que faites-vous ici?
- Je cherche le Bonheur.
- Qu'est-ce-donc cela, le Bonheur?
- Je ne sais pas. Ce sont les dernieres paroles de mon pere. Il m'a dit: 'Trouve le Bonheur, ma petite fille'. Je cherche donc le Bonheur.
- Vous pensez qu'il se trouve ici?
- Je ne sais pas. Il est peut-etre la, ou ailleurs. Comme je ne sais pas ou il se trouve, je le cherche partout.
- Vous le cherchez depuis longtemps?
- Depuis un certain temps. J'ai beaucoup voyage. J'ai traverse des montagnes, des plaines, des rivieres, des deserts. Mais jusqu'ici je ne l'ai jamais trouve.
- Etes-vous sure que le Bonheur existe?
- J'ai rencontre un vieil homme au cours de l'un de mes voyages, qui m'a dit avoir connu le Bonheur, une fois dans sa vie. Mais au moment ou il croyait le tenir pour toujours, il s'etait echappe.
- Le Bonheur court-il?
- Le Bonheur court toujours.
- Les gens aiment-ils le Bonheur?
- Biensur qu'ils l'aiment. C'est selon eux la meilleure chose qui puisse arriver dans la vie.
- Comment fait-on pour reconnaitre le Bonheur?
- Le Bonheur fait voir la vie en rose.
- Ma vie est plutot grise en ce moment. Je n'ai rien a faire et je m'ennuie. Puis-je vous aider a trouver le Bonheur?
- Pourquoi pas? A deux, on aura surement plus de chance de le trouver!"

- Docteur, quelque chose ne cesse de me turlupiner.

- De quoi s’agit-il ?

- De cette chose, là, devant vos yeux, que vous examinez.

- Je n’examine rien du tout. Pour le moment, je ne fais que vous regarder.

- Et que regardez-vous, de cet air étonné?

- Ecoutez, je ne saisis pas. Où voulez-vous en venir ?

- Là, au milieu de la figure. Vous devinez ?

- Je ne vois rien de spécial.

- Voyons, allez-y, n’ayez pas peur de me peiner.

- La seule chose que je vois au milieu de votre visage, c’est votre nez.

- Nous y voilà. Vous avez l’air consterné.

- C’est que… Je ne vois toujours pas où est le problème.

- Le problème ? Mais ce n’est pas un problème, c’est une catastrophe ! Ne voyez-vous pas qu’il est complètement disproportionné ?

- Il est certes un peu enflé. Que s’est-il passé ?

- Figurez-vous qu’une abeille est venue y butiner.

- Elle vous a pris pour une fleur ?

- C’est sans doute à cause de mon acné.

- Votre acné ?

- Oui, depuis quelques mois, je n’arrête pas de bourgeonner.

- Je vois. Vous a-t-elle piquée ?

- Malheureusement oui. En plus d’être boutonneux, il est devenu cramoisi. Mes amis n’arrêtent pas de me vaner.

- Il n’est pas si rouge que ça, votre nez.

- En tout cas je ne vais plus me promener.

- Je comprends que cela vous gêne, mais vraiment, il n’a pas de quoi s’alarmer.

- N’existe-t-il pas une crème miracle, dont je pourrais me badigeonner ?

- Si biensûr, je vais vous en prescrire une. Ca lui permettra de dégonfler.

- Et pour mes boutons d’acné ?

- Ca, c’est un autre problème. Mais je peux vous prescrire une autre crème.

- Et pour le modifier ? Qu’il soit moins long, moins gros, plus affiné ?

- A ce moment là, il faut vous faire opérer.

- Mais je ne suis pas fortunée !

- Alors prenez votre mal en patience. Vos boutons d’acné, ils finiront bien par s’en aller. Quant à la forme de votre nez, au fil du temps vous finirez par vous y habituer. Voici l’ordonnance, tenez !